
« Amour et mort dans le jardin des dieux » de Sauro Scavolini : Giallo élisabéthain
Décidément, John Ford, le dramaturge élisabéthain (pas le cinéaste américain), remportait du succès en Italie. Du moins, sa pièce Lire la suite
Décidément, John Ford, le dramaturge élisabéthain (pas le cinéaste américain), remportait du succès en Italie. Du moins, sa pièce Lire la suite
Finalement, en regardant La bambola di Satana (1969, La poupée de Satan), que Le Chat qui fume ressort dans Lire la suite
L’opéra ne pouvait qu’inspirer Dario Argento et Opéra, un film de 1987 qui ne connut pas de sortie sur Lire la suite
En matière de femmes, dans sa chanson L’ancêtre, Brassens en réclamait « qui fument, crénom de nom ». Quand il s’agit de Lire la suite
On attend toujours avec impatience des nouvelles du Chat qui fume, cet éditeur qui sait toujours nous réserver de belles Lire la suite
Il est normal de suivre avec beaucoup de curiosité et de vigilance les sorties vidéo d’éditeurs passionnés et débusqueurs de Lire la suite
On se croirait revenu au bon temps de Neopublishing : avec Artus Films et The Ecstasy of Films, Le Chat qui Lire la suite
Prix Lumière en 2013, Quentin Tarantino est revenu à Lyon « en cinéphile ». Pour la 8e édition du festival Lumière, qui Lire la suite